Knowledge is a deadly friend when no one sets the rules. The fate of all mankind I see is in the hands of fools. King Crimson - Epitaph (1969)

Nexus n°75

Écrit par Paul Renard. Publié dans Humeurs du moment

Le magazine Nexus n° 75Je ne connaissais pas cette revue il y a à peine quelques mois. C'est en visitant le site de Jean-Pierre petit que je l'ai découverte (n° 74), vu qu'il y avait produit un excellent dossier sur les énergies alternatives. J'ai donc acheté le n° 75 que je ne peux que recommander à tous !

Voici comment se définit cette revue :

Le magazine NEXUS, est un bimestriel international vendu en kiosque et par abonnement.
Son but est de publier une information scientifique alternative, habituellement proscrite, ou difficile à
obtenir dans les domaines de la santé, de l'énergie, de la géopolitique, de la physique, de la biologie,
de l'histoire, de l'économie, de l'exopolitique (ufologie), et des phénomènes inexpliqués.

Qui après l'Homme ?

Écrit par Paul Renard. Publié dans Humeurs du moment

Sommes-nous seuls ? Sommes-nous les seuls êtres intelligents sur cette belle Gaïa ? La Vie n'a-t-elle eu pour but unique que de créer l'humain, en vertu d'un plan divin ? Un prédateur proliférant à la surface de la planète et responsable de la disparition de milliers d'espèces depuis le début de son évolution (je l'ai déjà cité, mais je recommande une fois de plus la lecture d'"Homo Disparitus" d'Alan Weisman).

Mangez de la merde !

Écrit par Paul Renard. Publié dans Humeurs du moment

La défunte revue Hara Kiri l'écrivait il y a deux ou trois décennies : "Mangez de la merde : 90 milliards de mouches ne peuvent pas se tromper !". Et pour illustrer ce slogan visionnaire, un nuage de mouches survolait une assiette d'appétissants colombins…

Eh bien, ça y est : c'est fait !

Alerte E. Coli

Écrit par Paul Renard. Publié dans Humeurs du moment

La bactérie E. ColiDans les années 60 – 70, on mangeait de la viande une fois ou deux par semaine. Pas vraiment pour des questions de revenus, mais plutôt parce qu'à cette époque, il n'était pas dans les usages de surconsommer en permanence.